Longévité : le sport plus important que les gènes

En comparant la longévité de 5 446 femmes, tout en prenant en compte d’une part leur patrimoine génétique et de l’autre leur niveau d’activité physique, des chercheurs californiens ont pu constater qu’après 33 années de suivi et 1 022 décès enregistrés, la pratique régulière d’une activité physique (de modérée à vigoureuse) était associée à une mortalité significativement plus faible, ceci quelle que soit la prédisposition génétique à la longévité (faible/moyenne/élevée).
Une preuve supplémentaire que dans notre ADN, rien n’est gravé dans le marbre et que c’est à nous de prendre notre santé en main pour faire bouger les lignes.
(Source : Journal of Aging and Physical Activity, 24 août 2022)